L’industrie du tourisme mécontente

L’industrie du tourisme mécontente

L’industrie du tourisme mécontente

Suite au remaniement du calendrier scolaire, les réactions ne se sont pas fait attendre et convergent toutes vers la même direction : le mécontentement. Au-delà des familles qui sont globalement contrariées par ces changements, l’industrie du tourisme a également exprimé sa déception, sinon son insatisfaction face à ce nouveau calendrier proposé par le gouvernement au conseil supérieur de l’Education.

Pourquoi l’industrie du tourisme est-elle mécontente ?

Etant donné que les voyageurs et les touristes avaient leurs habitudes de déplacements, des modifications du calendrier ne peuvent que les perturber et perturber par la même occasion leurs envies de départs. Les professionnels de l’industrie du tourisme sont donc pas d’accord sur cette nouvelle mesure car celle-ci présage une moindre activité et donc une nette baisse de rentabilité.

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D’après les calculs de ces professionnels, cette retouche du calendrier ne peut que leur être désavantageux pour ne pas dire néfaste. Jean-Pierre Mas, président des Entreprises du voyage, a déclaré qu’à cause de ce calendrier remanié, les activités de l’industrie du tourisme connaîtront une forte diminution durant cette année scolaire 2016-2017. Selon leurs estimations, ils doivent s’attendre à une diminution de l’ordre de 20 à 30 %.
Bien que les dommages éventuels toucheront l’ensemble de l’industrie du tourisme, ce sont principalement les secteurs des locations en tous genres ainsi que les voyages en destination du bassin méditerranéen qui paieront le prix fort.

L’industrie du tourisme et les autres métiers

A part l’industrie du tourisme proprement dite, ce remaniement du calendrier impacteront sans l’ombre d’un doute d’autres métiers. Par exemple, les prévisions sont tout aussi sombres pour le monde de l’hôtellerie, intimement liée à l’industrie du tourisme.

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Mais tous ces professionnels affirment qu’ils sauront s’adapter à cette nouvelle situation et se préparent d’ores et déjà en vue d’activités qui compenseront leur manque à gagner.